Devis monte escalier en ligne

Quelles sont les informations à savoir sur les monte-escaliers ?

Avec l’âge, il devient difficile de monter sur un escalier. Pour soutenir la personne âgée, les inventeurs ont conçu les monte-escaliers. Elles sont également mises en place pour apporter de l’autonomie aux sujets dépendants. L’utilisation de l’appareil mécanique requiert cependant des travaux en amont. Il faut entre autres aménager un rail. Vous vous demandez sûrement le prix de l’engin motorisé. Bien entendu, il y a d’autres questions à élucider afin d’optimiser le choix.

Quels sont les différents types de monte-escalier ?

La configuration du rail sera conditionnée en fonction de la forme de l’escalier existante. Dans le cas contraire, vous serez obligés de recourir à des travaux supplémentaires. Il est possible de trouver principalement dans un domicile un escalier droit ou tournant. Dans le cadre d’une échelle rotative, vous pouvez voir les modèles ¼ et le 2/4. Il existe aussi l’escalier extérieur et les colimaçons.

L’escalator droit est formé d’un unique rampant de marche. L’accès vers l’étage supérieur est donc effectué sur une ligne continue. Pour aménager le monte-escalier, il suffit que l’accès soit de 65 cm et plus. De son côté, il est nécessaire de prévoir 75 cm d’espace pour permettre un virage en douceur. Pour le côté prix, un dispositif droit est moins coûteux pour la simple raison que c’est une version standardisée. Les artisans n’effectuent donc pas des personnalisations. Les fabricants découpent seulement l’élément à la bonne taille.

Quelles sont les normes pour un monte-escalier ?

Plusieurs normes sont à respecter au moment d’installer le monte-escalier. Elles sont indiquées dans la règlementation NF EN 81-40. Il est judicieux de vérifier ce critère en complément du prix. Le siège sera obligatoirement équipé d’un dossier pour garantir le confort. La chaise sera également dotée d’une ceinture de sécurité. Elle devra correspondre à la taille de la personne dépendante.

Le danger principal pour l’utilisateur reste le moment dont le monte-escalier négocie un virage. L’équipement devra en fait éviter de tourner à vive allure sur un tournant ou lors de la montée. Cela pourrait causer des incidents. L’usager doit alors avoir un contrôle d’urgence sur l’appareil. C’est pour cette raison qu’un bouton d’arrêt d’urgence y a été greffé sur le tableau de commande. Pour éviter une accélération importante, l’appareil comportera aussi un détecteur de vitesse. De ce fait, il ajustera automatiquement la célérité.

Le dispositif fonctionne grâce à un moteur. Celui-ci marche à l’aide d’un secteur électrique. En cas de coupure, une batterie rechargeable devrait reprendre le relai. Elle se chargera dès lors que l’engin est à l’arrêt afin de garantir toute l’autonomie nécessaire à sa bonne marche. Il faut savoir qu’une certaine puissance requise est importante afin de soulever une énorme charge. À titre indicatif, la puissance sollicitée peut souvent atteindre 50 watts. La présence de l’accumulateur est aussi préconisée afin de se conformer aux normes évoquées.

Quel budget pour une monte escalier ?

Le prix à payer pour l’installation de l’équipement dépendra essentiellement de la forme de l’escalier. Il faut scinder les postes de dépense en deux. D’une part, il y a l’achat de la plateforme. Et d’autre part, il est nécessaire de considérer le coût d’aménagement du rail. Lors de l’achat de la chaise, la marque fabricante modifiera aussi la facture tout comme les options disponibles. Sachez que certaines industries créent le siège actif. D’autres créateurs ont conçu des fauteuils dotés de nombreuses options comme le fait de pouvoir pivoter selon les besoins de l’usager. Sur ces mêmes modèles, l’utilisateur peut pareillement trouver un repose-pied automatique. La commande est exécutée par le biais d’un bouton.

Le prix d’un monte-escalier sans customisation coûte entre 2 500 € et 6 000 €. De son côté, le devis des artisans est plus cher dès lors qu’ils font face à un escalier tournant. En effet, les rails devront être cambrés avant la pose. Le prix atteint ainsi 6 500 € à 13 000 €. La facture est également salée quand l’utilisateur aménage des rails de circulation à l’extérieur. Il faut payer entre 4 000 € et 12 000 €. La cherté de l’opération est due en grande partie du fait que la plateforme doit être suffisamment robuste. D’ailleurs, les artisans devront se lancer dans un entretien plus poussé. Il faut notamment mentionner le graissage. Ainsi, l’infrastructure durera avec le temps. L’entretien est incontournable pour éviter la formation de gel durant les périodes hivernales. Par ailleurs, l’acte évitera l’apparition de rouille à la suite de pluie torrentielle. Selon l’architecture du logement, la main-d’œuvre peut aller de 1 000 à 3 000 €.

Quelles sont les alternatives à un monte-escalier neuf ?

Si vous souhaitiez économiser, d’autres solutions existent sur le marché. Il est entre autres possible de miser sur un monte-escalier d’occasion. L’avantage est que le prix reviendra à 20 ou 60 % moins cher. Le siège élévateur est accessible à partir de 1 000 €. Il faut bien entendu tenir compte de la notoriété du fabricant. La marque Stannah propose cette formule. Une période de garantie de 2 ans peut même être pratiquée auprès des commerçants.

Pour réduire le budget, une chaise élévatrice reste également un choix envisageable. Dans cette alternative, le rail est incorporé dans le plafond. Cependant, pour une question d’esthétisme, les artisans peuvent aussi fixer l’élément en bas et au sommet du mur. L’utilisateur se placera tout simplement sur l’assise pour monter vers l’étage supérieur. Ceci dit, l’inconvénient à citer est le manque de confort malgré la présence d’un siège pliable. Le prix de l’équipement est d’environ 1800 €.

Existent-ils des aides financières pour l’acquéreur ?

Pour réduire le prix, la personne en perte d’autonomie peut demander divers types d’aides. L’octroi de la subvention dépendra néanmoins des revenus du demandeur et l’âge du logement. La plupart des solutions sont dédiées pour les ménages aux revenus modestes et aux profils en perte d’autonomie. L’allocation est variable selon la zone géographique. De son côté, le domicile devrait être âgé de 15 ans et plus. Le propriétaire peut d’autant demander les aides en lien avec les assistances mobilités. Il est possible de mentionner l’APA ou le PCH. Enfin, il y a aussi les aides provenant des compagnies d’assurances et caisses de retraite.